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7 juillet 2025
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Présidentielle 2025 : Le RDPC, une machine de puissance totale au service de la stabilité nationale

Yaoundé, juillet 2025 — Alors que certains cercles de l’opposition s’agitent autour d’une hypothétique candidature unique, la réalité du terrain reste implacable : le Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais (RDPC) demeure la seule véritable force politique capable de gouverner le Cameroun avec autorité, vision et stabilité.
Votre regard compte. cliquez sur ce lien: https://forms.gle/apNLeyMzDFrf87hc6 
À moins de trois mois du scrutin présidentiel, le régime conserve une maîtrise absolue de l’appareil d’État, du territoire, de la sécurité nationale, de l’économie et de l’opinion réelle. C’est un système verrouillé, structuré et stratégiquement patient.
Une administration implantée jusqu’aux confins du territoire
De la présidence aux villages les plus reculés, le RDPC peut s’appuyer sur :
  • Un corps préfectoral discipliné,
  • Des chefs traditionnels impliqués,
  • Des services déconcentrés du pouvoir central.
Ce maillage administratif permet une exécution immédiate des décisions et une présence effective de l’État dans les 360 arrondissements.
Un appareil sécuritaire républicain et loyal
L’armée, la gendarmerie, la police et les services spécialisés sont sous commandement solide, sans ambiguïté.
  • La défense nationale repose sur des hommes de terrain aguerris.
  • L’armée a contenu Boko Haram, stabilisé le NOSO et assuré la paix républicaine.
La loyauté militaire est un atout fondamental du régime, et elle ne vacille pas.
Une économie sous contrôle et un cap maintenu
Les infrastructures avancent, les financements tiennent, la machine tourne :
  • Le port de Kribi, les barrages, les routes bitumées… continuent.
  • L’État respecte ses engagements macroéconomiques et inspire confiance aux bailleurs.
Le pouvoir gère non pas à court terme, mais selon une logique d’État à long souffle.
Une organisation électorale taillée pour la victoire
Le RDPC, ce n’est pas une mode, c’est une structure quadrillée du sommet à la base :
  • Des comités RDPC dans chaque quartier,
  • Des cellules actives dans les chefferies et milieux religieux,
  • Un maillage électoral incomparable.
Le vote n’est pas une improvisation pour le régime, c’est un acte de stratégie logistique.
 “Qui gouverne vraiment ?” — Une énigme qui inquiète… mais ne désarme pas le système
Certains affirment que le Président Paul Biya, à 92 ans, ne serait plus au centre de la gestion quotidienne, et que son épouse Chantal Biya et le SGPR Ferdinand NGOH NGOH auraient pris la main. Ces allégations, portées par certaines indiscrétions autour des récentes audiences à la présidence, alimentent les débats.
Mais que l’on adhère ou non à ces rumeurs, une chose est sûre :
Le système fonctionne, les décisions tombent, les équilibres sont maintenus.
Et s’il ne s’agit plus de Paul Biya lui-même aux commandes, alors ceux qui agissent à sa place démontrent une maîtrise stratégique du pouvoir d’État, que seule une force très organisée pourrait espérer ébranler.
Le timing présidentiel : une maîtrise du tempo comme seul un chef d’État d’expérience peut l’imposer
À quelques semaines de la présidentielle, un fait parle plus fort que tous les discours :
le corps électoral n’est toujours pas convoqué.
Ce silence organisé est révélateur. Il montre que le président Paul Biya ou ceux qui agissent en son nom tient encore parfaitement les rênes du calendrier républicain.
Cette attente volontaire, calculée, donne l’avantage stratégique au pouvoir : les adversaires spéculent, s’agitent et se divisent, pendant que le système verrouille ses pions et observe en silence.
Peut-être cet article lui-même incitera-t-il le Chef de l’État à convoquer dans les jours à venir le corps électoral, forçant ainsi chacun à sortir ses cartes réelles, à clarifier sa position, et à s’aligner sur le rythme du vrai patron du Cameroun.
Le RDPC ne fait pas campagne. Il gouverne. Il construit. Il verrouille.


Le RDPC n’a pas besoin de promesses électorales. Il a le terrain, les hommes, la force et le système.


Face aux illusions d’unité de façade, le pouvoir agit avec maîtrise, patience et science du timing.
Si ce n’est plus Paul Biya qui gouverne, alors ceux qui le font à sa place sont encore plus redoutables.
La rédaction

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