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25 juillet 2025
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Marc Brys claque la porte des Lions Indomptables : La FECAFOOT reste debout et demande réparation !

Par une lettre recommandée en date du 21 juillet 2025, l’entraîneur-sélectionneur Marc Brys a brutalement mis fin à son contrat avec l’État du Cameroun, prenant de court non seulement la Fédération Camerounaise de Football (FECAFOOT), mais toute la nation sportive. Un acte unilatéral, précipité et sans concertation, qui soulève aujourd’hui des interrogations majeures quant aux conséquences juridiques et financières de cette rupture.

La FECAFOOT, dans un communiqué signé le 23 juillet 2025 par son Secrétaire Général MANDONG Isaac Noé, prend acte de cette rupture imposée, et reste fidèle à son devoir de défendre les intérêts du football camerounais. Car au-delà de la surprise, c’est un contrat en bonne et due forme, signé le 8 avril 2024, qui vient d’être piétiné par une décision unilatérale, engageant de facto la responsabilité du coach démissionnaire.

Qui va payer les dommages ?

Dans toute rupture contractuelle, il y a une partie lésée. Dans ce cas précis, il est clair que la FECAFOOT et à travers elle, le peuple camerounais se retrouve victime d’une instabilité imposée à quelques mois de grandes échéances (éliminatoires de la Coupe du Monde 2026, CAN Maroc 2025). Cette situation mérite réparation : des dommages-intérêts doivent être envisagés contre Marc Brys ou ses mandataires pour rupture abusive de contrat.

Une fédération responsable, tournée vers l’avenir

Face à cette tourmente, la FECAFOOT garde le cap et prouve, une fois de plus, son sens du leadership. Elle a déjà saisi les autorités compétentes pour la mise en œuvre d’une réponse coordonnée et urgente, et assure la continuité des réformes en profondeur du football national.

Car plus que jamais, il s’agit de protéger l’intérêt général et de ne pas laisser des décisions personnelles compromettre l’élan de modernisation engagé sous la houlette de Samuel Eto’o Fils.

La FECAFOOT n’a pas démissionné. Elle est restée fidèle à ses engagements et attend désormais que la justice contractuelle fasse son œuvre. À l’heure où l’exigence est au professionnalisme, il est impensable qu’un entraîneur rompt son engagement sans en assumer les conséquences.

 

La rédaction

 

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