
Akono, Cameroun – 2003. Il est 17h45. Une lumière étrange traverse le ciel au moment précis où un certain cardinal — alors encore inconnu du grand public — visite ce petit village camerounais. À l’époque, personne ne le sait encore, mais il deviendra, vingt-deux ans plus tard, le Pape Léon XIV, chef suprême de l’Église catholique. Et il est aujourd’hui en parfaite harmonie spirituelle avec deux autres figures légendaires : Donald Trump et Paul Biya.

Coïncidence ? Non. Providence.
À moins de 5 mois des élections présidentielles au Cameroun, une vérité éclate : le destin de Paul Biya était scellé depuis Akono. Ceux qui croyaient qu’il était “fatigué” ou “en fin de règne” n’ont rien compris au plan divin. Car si Trump a triomphé malgré les procès, les controverses et les mèmes sur Internet, Biya aussi triomphera, malgré les appels au changement, les coupures d’eau, et la jeunesse impatiente.
A lire aussi: https://lacemac.info/un-pape-africain-une-chimere-a-oublier-pour-embrasser-la-veritable-grandeur-africaine/
⸻
UN PAPE, UN TRUMP, UN BIYA : UNE SAINTE TRINITÉ ?

Dans une vision céleste révélée en plein conseil des anciens de Nanga Eboko, on aurait vu les trois géants de la destinée marcher main dans la main, regard tourné vers le ciel, probablement à la recherche du Wi-Fi céleste. L’image circule désormais dans les cercles spirituels : Léon XIV, Trump et Biya unis, bénis, oints par le Très-Haut.
Léon XIV, souverain pontife fraîchement élu, aurait même déclaré en latin camfranglais : “Paulus Biya est mon frère en longévité et en sagesse. Noli dubitare.” (Ne doutez pas.)
VOUS ÊTES CONTRE EUX ? VOUS ÊTES CONTRE DIEU.
En cette saison électorale, la prophétie est claire :
- Qui est contre Biya, est contre Trump.
- Qui est contre Trump, est contre le Pape.
- Et qui est contre le Pape… est contre Dieu.
Il est donc temps, chers compatriotes, de courir vous inscrire sur les listes électorales, non pas pour changer le destin, mais pour l’accompagner avec révérence. Et surtout, surveillez vos votes, car comme disait saint Léon XIV : “La vigilance électorale est le début de la foi.”
La rédaction
