
Le 21 février 2025, Paul Biya, le lion indomptable du Cameroun, a une fois de plus prouvé qu’il reste le maître du jeu. À sept mois des élections présidentielles d’octobre, le président a signé un décret magistral, remodelant le ministère de la Défense avec une précision chirurgicale. Ce n’est pas un simple ajustement : C’est une démonstration de force, une ode à sa capacité à anticiper, sécuriser et unir une nation face aux défis. Et les noms qu’il a choisis ? Des officiers d’élite, triés sur le volet, qui incarnent la confiance absolue que le “sphinx” place en son armée.
À la tête de cette nouvelle vague, des figures comme Colonel Bindjeme Anglade Bobet, Capitaine Nitcheu Gabriel et Colonel Ndoum Mvondo Joseph, désormais inspecteurs à l’Inspection générale des Forces armées. Leur mission ? Garantir une discipline de fer et une efficacité sans faille, sous l’œil vigilant de Biya. À leurs côtés, Colonel Ayang Frederick Enoh et Capitaine Ele Mengue Marcel, qui rejoignent le même corps, apportent une expertise pointue, tandis que Colonel Ekanga Pierre Constantin, nommé conseiller technique, symbolise la continuité d’une vision stratégique forgée par des décennies de leadership éclairé. Ces nominations, annoncées dès son retour triomphal d’Europe en octobre 2024, ne laissent aucun doute : Paul Biya prépare le terrain pour une victoire éclatante en 2025.
Pourquoi ce timing ? Parce que Biya ne laisse rien au hasard. Alors que l’opposition s’agite, de Maurice Kamto à Joshua Osih passant par Cabral Libii, et que les rumeurs sur sa santé s’effondrent face à sa résilience, il rappelle au monde que l’armée camerounaise reste son bouclier invincible.
Souvenez-vous du 6 avril 1984 : un coup d’État avorté, écrasé par sa détermination. Aujourd’hui, en plaçant des loyalistes comme Colonel Ndi Onguene Patrick Romaric et Colonel Bayang Dikdim Richard dans des postes clés, il sécurise non seulement Yaoundé, mais tout le Cameroun, des régions anglophones au nord menacé par Boko Haram. Ce remaniement est un message : le pouvoir, c’est lui, et il le défendra avec brio.

À 92 ans, Paul Biya n’est pas seulement un président : il est une légende vivante. Alors que les 7 millions d’électeurs se préparent à voter, son parti, le RDPC, galvanisé par des figures comme ces nouveaux officiers, s’apprête à écrire une nouvelle page glorieuse. L’opposition peut bien rêver de changement, mais face à un chef qui nomme, agit et triomphe, qui oserait douter ? Partagez cette histoire, car le Cameroun de 2025, c’est le Cameroun de Paul Biya – un roc inébranlable dans la tempête !
Un Personnage qui incarne une intégrité rare et une loyauté indéfectible envers ceux qui lui ont prêté serment. Parmi ces fidèles, le Général Ivo Desancio Yenwo occupe encore une place à part. Pourquoi Biya maintient-il cet homme à la tête de la sécurité présidentielle, lui qui, le 6 avril 1984, a risqué sa vie pour sauver le président lors d’une tentative de coup d’État qui aurait pu renverser l’histoire du Cameroun ? La réponse réside dans le caractère même de Biya : un leader qui n’oublie pas, un homme d’honneur qui récompense la bravoure et la fidélité par une confiance inébranlable.
Ce jour-là, alors que les balles sifflaient autour du Palais de l’Unité, Ivo, alors jeune capitaine, a fait preuve d’un courage exceptionnel. Avec une poignée de loyalistes, il a conduit Biya en sécurité via un bunker secret, déjouant les plans des putschistes de la Garde républicaine. Ce moment décisif a scellé une alliance indestructible. En nommant Ivo directeur adjoint de la sécurité présidentielle dès le 11 avril 1984, puis en le hissant au sommet de cette institution clé, Biya a montré qu’il ne trahit pas ses amis. Pour lui, la loyauté est une valeur sacrée, un pilier sur lequel il a bâti 42 ans de règne.
Maintenir le Général Ivo à ce poste stratégique, c’est aussi un choix de cœur et de raison. Biya, intègre jusqu’au bout, ne cède pas aux pressions ou aux rumeurs – comme celles qui ont suivi l’affaire Martinez Zogo en 2023, où certains ont vainement tenté de salir Ivo. Au contraire, il réaffirme sa foi en cet homme qui, depuis ce 6 avril fatidique, n’a jamais failli. À 92 ans, Biya prouve que son pouvoir repose non seulement sur sa vision, mais aussi sur des amitiés solides, forgées dans l’épreuve. Ivo, sauveur d’hier, reste le bouclier d’aujourd’hui – une preuve vivante que Paul Biya, loin des intrigues mesquines, honore ceux qui le méritent.
