
Alors que le pays entre dans une phase cruciale du processus électoral présidentiel, le Ministre de l’Administration Territoriale, Paul Atanga Nji, sonne la fin de la récréation pour tous ceux qui pensent pouvoir perturber le déroulement du scrutin à venir.
Dans un communiqué urgent, le gouvernement affirme sa volonté de protéger à tout prix l’intégrité, la transparence et la sérénité du processus électoral. Le message est clair : toute tentative de manipulation, sabotage ou désinformation qu’elle vienne de l’intérieur ou de la diaspora sera poursuivie sans ménagement.
Le cyber-espace aussi sous surveillance
Le communiqué révèle que des enquêtes sont en cours pour identifier ceux qui auraient tenté de pirater les systèmes du Ministère en insérant frauduleusement des noms de candidats fictifs. Ces actions de sabotage, assimilées à une tentative de déstabilisation de la République, ne resteront pas impunies.
L’État de droit en première ligne

Paul Atanga Nji rappelle que le Cameroun est un État de droit avec des institutions solides, un système judiciaire indépendant et des services de sécurité prêts à garantir la paix et la stabilité de la République.
“Qu’on se le tienne pour dit : toute entreprise de subversion, toute manœuvre de manipulation de l’opinion publique, toute action visant à jeter le discrédit sur les institutions et à semer le chaos sera étouffée avec la dernière énergie.”
Une République qui ne pliera pas face à l’anarchie
Ce message est un rappel ferme à l’ordre pour ceux qui croient pouvoir importer la violence politique dans un pays qui aspire à un avenir stable. À l’heure où des candidats se multiplient et que la cacophonie gagne certains partis, le Gouvernement trace une ligne rouge : la République ne vacillera pas.
Le Ministre de l’Administration soutient une gouvernance forte et stable
Dans un continent où trop souvent l’ingérence numérique, les manipulations extérieures ou les ambitions individuelles ont sapé des processus électoraux entiers, le Cameroun donne un signal fort : la sécurité, la souveraineté et l’ordre républicain ne sont pas négociables.
Ce communiqué n’est pas un avertissement de plus. C’est un acte d’autorité légitime, un message de fermeté pour garantir que le scrutin présidentiel 2025 se déroule dans le respect total des institutions républicaines.
La rédaction
