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16 septembre 2024
Société

SANS SURPRISE :  Après Samuel Eto’o, Emile Parfait SIMB, c’est le tour d’Alain FOKA sur le Billard

SANS SURPRISE :  Après Samuel Eto’o, Emile Parfait SIMB, c’est le tour d’Alain FOKA sur le Billard

Les déclarations mensongères et manipulatrices de Jeune Afrique à l’endroit du journaliste camerounais Alain Foka, révèlent une fois de plus la volonté des médias à la solde de la France, de détruire les personnalités africaines.

C’était attendu ! Aujourd’hui Alain Foka est le client parfait d’une rédaction à la solde des européens. Plus de trois décennies de dur labeur sont foulées aux pieds et réduites à des accusations de corruption fantasmée. Durant ses années de travail acharné, ce magazine en délicatesse avec la probité, n’a jamais envisagé de révéler le « vrai visage » d’Alain Foka ainsi que ses activités et biens.

Son succès retentissant à la Radio et sur le petit écran ne leur a jamais inspiré un portrait. Il a fallu 30 ans pour que comme par hasard, la rédaction de Jeune Afrique s’intéresse à Alain Foka. Et, de quelle manière? La vérité et la réalité de cet article sont connues. Elles n’échappent à aucun africain.

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Alain Foka a une renommée internationale. Il est un journaliste décomplexé au carnet d’adresse boulimique. Il obtient ses informations de sources crédibles, et les africains lui font confiance. C’est la vérité et c’est normal.

Mais depuis qu’il a décidé de dénoncer les dessous de la France-Afrique, les dieux (pardon démons) lui sont tombés sur la tête, par l’entremise d’un canard à la solde des services secrets français depuis sa création. Ce n’est un secret pour personne. L’engagement d’Alain Foka a libéré l’Afrique à travers ses chroniques agace les mercenaires de la France. Ces agents déguisés en journalistes et protégés par des médias tels que Jeune Afrique, France 24 et Radio France Internationale ont pour mission de déstabiliser les institutions africaines et ses personnalités crédibles. L’intention est connue depuis bientôt une décennie. Ainsi les Dougueli, François Soudan et autres Olivier Mathieu ne font plus illusion.

Durant  des années, les productions de Alain FOKA (Archives d’Afrique et le débat africain) ont généré de fortes audiences à RFI et pléthore de téléspectateurs à France 24. Alain Foka était alors jadis le journaliste exemplaire, le professionnel model, avant qu’il ne devienne l’homme à abattre une fois qu’il a montré et assumé son insoumission au mafieux système françafricain.

Qui peut croire que cet homme dévoué, a bâti sa fortune et son influence sur des pots-de-vin reçus ça et là des dirigeants politiques? Il ne s’agit ni plus, ni moins, que d’une manipulation par voie de presse. C’est un enfant camerounais et africain bien éduqué et bien formé. Ce journaliste a toujours su depuis ses débuts dans le journalisme, la nécessité d’équilibrer ses sources, de donner l’occasion à tous les acteurs concernés dans une histoire, de s’exprimer et dire leurs versions des faits. Cette approche est à bien des égards différents du journalisme partisan de ces médias français.

Quel mal y a-t-il pour un journaliste de  rencontrer le Président Ali Bongo Ondimba et l’opposant Jean Ping à l’issue d’un scrutin ? Il faut dissiper la brume. Dans ce cas de figure, la confusion est créée par des brigands et délinquants introduits dans le journalisme qui peinent jusqu’ici à faire la différence entre la profession et le commerce. Échec et mat !

 Les judas des temps modernes

Le mal dans ce bal de trafic d’influence est de voir les africains jeter leurs frères à la vindicte populaire pour quelques euros. Les hommes de mains de ces médias d’un autre genre sont connus sur le continent. France 24 instrumentalise le talent de Tony Michael Menga et Jeune Afrique celui de Mathieu Olivier.

Le reporter d’Hemisphere Production est utilisé pour la sale besogne. Le mode opératoire est déjà connu. Envoyés par leurs « maitres », ils cherchent à entrer en contact avec les personnalités africaines. Un coup de fil ou un message, et ils attendent. Lorsque la cible ne mord pas à l’hameçon, ils répètent le cirque en feignant d’être poli et courtois.

Les moins avertis tombent dans ce manège. Ils acceptent de s’exprimer à leurs micros et devant leurs caméras, sans rien redoute (cas ressent de l’honorable Nouran au Cameroun et beaucoup d’autres). Convaincus qu’il s’agit d’un reportage à leur avantage.  Au cours des échanges, les questions basiques faussement cordiales cèdent le pas progressivement aux vraies questions réflétant leurs réelles préoccupations dans le but de laisser sortir de la bouche des interviewés ce qu’ils veulent entendre. Le résultat des courses est visible sur les antennes de France 24. Une fois le reportage diffusé, les invités ne se reconnaissent plus. Leur réputation est écornée. Hélas ! Il est trop tard.

Le média ayant atteint son objectif, exprime son contentement par une légère augmentation salariale à son scribe.

Des journalistes tels que Tony Michael Menga, Mathieu Olivier de Jeune Afrique sont nombreux dans les pays africains. Se faisant appeler correspondants, ces chargés de mission à la petite semaine ne sont pas seuls. Au sein même des rédactions à Paris, existent une autre catégorie de ‘’journaleux’’ africains, œuvrant dans ces basses besognes pour garantir leur pitance. Georges Dougueli de Jeune Afrique en est. Il a fini (à force de petites primes à la traitrise) par s’acheter un minuscule appartement à Argenteuil dans le Val-d’Oise. Juste derrière la gare de la ville et non loin d’un laboratoire d’analyses médicales ou il à ses habitudes.

Alors Africains, faites attention ! Ne tombez plus dans ce genre de piège, leur seul objectif est de tuer radicalement l’entrepreneuriat et l’élite Africain.

C’était avant, c’est désormais FINI.!

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