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8 septembre 2024
Politique

RDC : l’opposition exige l’audit du fichier électoral avant le scrutin présidentiel prévu le 20 décembre

RDC : l’opposition exige l’audit du fichier électoral avant le scrutin présidentiel prévu le 20 décembre

Des préalables avant l’élection présidentielle prévue le 20 décembre prochain en République Démocratique du Congo, RDC. L’opposition exige l’audit du fichier électoral par un cabinet international réputé.

Dans une déclaration parvenue ce lundi 15 mai 2023 à 7SUR7.CD, le quatuor Katumbi – Fayulu – Sesanga – Matata rappelle que le processus électoral appartient au peuple congolais et concerne toutes les parties prenantes aux élections.
Pour ces 4 leaders de l’opposition, il est inacceptable que la CENI s’en attribue le monopole. Comme institution d’appui à la démocratie, ces derniers estiment qu’elle a pour mission d’aider les Congolais à choisir, en toute liberté, leurs dirigeants dans un système transparent qui rassure toutes les parties prenantes.

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« Elle doit mener à bien et en toute régularité, les activités nécessaires à l’organisation d’élections crédibles, gage de la paix et de la cohésion nationale. Elle est donc tenue d’être impartiale et d’impliquer tous les acteurs concernés, ceux des partis politiques et de la société civile », ce sont-là les propos du quatuor rapporté par 7SUR7.CD

« La garantie de sa fiabilité exige sa vérification, son contrôle et son audit par une organisation dont l’expertise en la matière et l’indépendance sont avérées afin de rassurer le peuple et toutes les parties prenantes. Le processus électoral étant l’affaire du peuple congolais, le régime au pouvoir et la CENI ne peuvent ni ne doivent aller contre ce principe et empêcher l’audit indépendant du fichier électoral », ont-ils renchéri.
Pour eux, la connaissance de la base des données découlant de la révision du fichier électoral ne porte nullement atteinte à la souveraineté et à l’intégrité nationale et n’a rien à voir avec la protection des données personnelles. Car ces données, par leur nature, peuvent être consultées par toute personne qui le désire.
Préalablement à l’audit du fichier, ils invitent la CENI à expliquer à toutes les parties prenantes comment elle a procédé pour confectionner ce fichier, car, ont souligné Martin Fayulu, Moïse Katumbi, Delly Sesanga et Matata Ponyo, l’on ne peut auditer des listes électorales dont on ignore les procédures et les fondamentaux, écrit le média.

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