ONU /Appel à mettre fin à l’essor des cryptomonnaies : Le jeu trouble de la France
L’ONU s’est penchée sur l’impact des cryptomonnaies sur le monde et dresse un tableau inquiétant pour l’avenir. Elle appelle à stopper l’essor des crypto-monnaies dans les pays en développement. Des observateurs de la vie socio-économique y voient une machination savamment orchestrée par la France qui, malheureusement continue de s’illustrer négativement.
En effet, selon la CNUCED, la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement, les avantages des crypto-monnaies sont pour certains éclipsés par les menaces qu’elles font peser sur la stabilité financière, la mobilisation des ressources intérieures et la sécurité des systèmes monétaires.
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Pour l’organisation, bien que les monnaies numériques privées aient enrichi certains individus et institutions, elles constituent un actif financier instable pouvant entraîner « des risques et des coûts sociaux ». Cette décision n’est pas anodine. Des analystes pointent d’un doigt accusateur la France qui, pourtant a octroyé une autorisation officielle délivrée par l’Autorité des marchés financiers (AMF) à Binance.
La plateforme de cryptomonnaie est enregistrée comme prestataire de services sur actifs numériques (PSAN). Un précieux sésame décroché par Binance qui lui permet d’opérer sur le territoire français.
Pendant ce temps, le pays exprime avec un dédain manifeste son intention de continuer de voir les pays en développement ou en voie de développement rester sur le carreau. Et cette décision de l’ONU est bien une machination savamment orchestrée par la France dans le sens de maintenir l’Afrique sous le poids de la servitude. Mais le continent africain semble avoir compris et prend progressivement son destin en main.
A l’ère de la finance décentralisée, l’Afrique ne doit pas se conter l’histoire.