11 C
New York
20 mai 2025
Politique

Tchad : Finie la prolifération anarchique des regroupements entre partis politiques et associations civiles

Tchad : Finie la prolifération anarchique des regroupements entre partis politiques et associations civiles

Finie la pagaille ! Le ministre tchadien de l’Administration du territoire Limane Mahamat met fin au regroupement ou coalition entre les partis politiques et associations civiles ne poursuivant pas les mêmes objectifs. Le paysage politique tchadien compte actuellement environ 143 partis politiques. Une floraison due au multipartisme.

Dans un communiqué de presse publié ce jeudi 17 novembre 2022, l’autorité ministérielle déplore la prolifération de regroupements de partis politiques et des plateformes associatives au mépris des dispositions législatives. Elle leur reproche de s’écarter de leurs objectifs.

Cliquez sur ce lien et intégrez notre groupe Télégram pour suivre l’actualité africaine

https://t.me/LACEMAC

Cliquez sur ce lien pour télécharger notre application pour Android

http://bit.ly/lacemac

Pour iOS

https://apps.apple.com/app/lacemac-infos/id1633092145

Au Tchad, les partis politiques et les plateformes associatives « apparaissent comme de véritables facteurs de division de nos populations, échappant subtilement au contrôle de l’Etat », a dénoncé le ministre. Selon lui, la liberté d’expression et d’association n’est pas synonyme d’anarchie.

« Bien que les textes garantissent les libertés d’expression, de manifestation et de regroupement, il n’en demeure pas moins que ces mêmes textes fixent les règles de regroupement des partis politiques d’une part, et des associations d’autre part, selon leurs objectifs”, a mis en garde Limane Mahama.

Le ministre prend alors ses responsabilités. « C’est pourquoi, il nous parait opportun de rappeler aux responsables des partis politiques et delà société civile que les dispositions de la loi sont claires et ne souffrent d’aucune ambiguïté. Enfreindre ces dispositions constitue une faute grave qui expose ses auteurs à des sanctions”, indique Limane Mahamat.
Le 20 octobre, un appel de l’opposition a donné lieu à des manifestations réprimant dans la capitale. La répression qui s4en est suivie, a entrainé plusieurs morts et des blessés.

Plus d'articles dans le flux

Centrafrique : le mandat de la Cour pénale spéciale renouvelé pour cinq ans par l’Assemblée nationale

LA RÉDACTION

RDC : Le président Tshisekedi appelle à l’unité face à la montée en puissance du M23

LA RÉDACTION

LA DOMINANCE DU BITCOIN EN DIFFICULTÉ – ETHEREUM ET LES ALTCOINS EN PROFITERONT-ILS ?

L’équipe

Laisser un commentaire