Réduction de la santé maternelle et infantile : le Tchad et la Banque mondiale s’allient pour lever les financements
Le gouvernement tchadien entend mettre en œuvre une stratégie visant à garantir une meilleure santé reproductive, maternelle, néonatale, infantile et celle des adolescents. Les travaux d’évaluation du plan d’investissement (DI 2023-2027) dudit projet ont débuté ce 16 mai au Radisson Blu.
A en croire le média Alwihainfo, cette initiative a pour objectif d’« identifier les ressources disponibles et les lacunes à combler, à aligner les ressources sur les priorités nationales, et à mobiliser les ressources intérieures et extérieures nécessaires ». Elle est en parfaite harmonie avec le Plan national de développement, la Politique nationale de santé et le Plan national de développement sanitaire.
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Pour le représentant résident de la Banque mondiale au Tchad, partenaire du projet, compte tenu des taux élevés de décès maternels, infantiles et de malnutrition, bien au-dessus de la moyenne africaine et mondiale, le Tchad est qualifié pour bénéficier de l’appui du GFF (Global Financing Facility). Kofi Amponsah estime que le plan d’investissement (DI 2023-2027) permettra de mobiliser les actions nécessaires pour la réduction de ces taux.
La partie tchadienne représenté par le secrétaire général du ministère de la Santé publique et de la Prévention, Dabsou Guidaoussou a rappelé que cette activité vise à « mettre fin aux décès maternels, néonatals, infantiles et évitables chez les adolescents, tout en améliorant la santé, la nutrition et la qualité de vie de ces groupes vulnérables d’ici 2030 ».